Evaluer cet article Il s’efface, par discrétion, pudeur et crainte de me gêner. Journal, janvier 1944. André Gide A Lire AussiCe que l’on conçoit bien s’énonce clairementDors-tu ?Un rien s’ajuste mal avec unUn homme qui suit unLa pierre n’a point d’espoirLa naissance, la beauté, la bonneLa postérité n’a jamais renduLes hommes, qui sont malheureuxAu mois d’août, femmes retirez-vous.Il n’y a pas de preuve que la puce, qui vit sur PARTAGER