Evaluer cet article La faille aboutissait à la rivière, qui faisait coude à cet endroit et dont l’eau rapide, en venant buter contre la falaise schisteuse, l’avait profondément creusée. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiLa vipère et la sangsuePour moi c’est ravir au mondeJ’ai toujours eu le sentimentRien ne s’est fait de grand qui neS’abstenir de punir n’estChi troppo vuole nullaQue dit-on d’une blonde avec la moitié d’un cerveauJ’ai trouvé chez mon mari les malheurs que j’avais cru laisser chez mes parents En avril, ne te découvre pas d’un fil ; en mai, Ah ! Gardons le plus longtemps possible la pitié, c’est le plus PARTAGER