Evaluer cet article Je doute qu’il arrive jamais à cette simplification, cette puissante érosion des contours dont parle Nietzsche, et sans laquelle il n’y a pas de parfaite oeuvre d’art. Journal 1889-1939, 9 janvier 1908. André Gide A Lire Aussiça ?Le RadeauQuel fléau que la richesse unie à l’ignoranceL’intendance suivra.L’insomniaque rêve d’une défaillance de la conscience qui lui permettrait deLa parole perd parfois ce que le silence aDe même qu’un singe quiCa me fait peur, les gens prudentsDieu a construit le monde en une semaineLe pour soi est ce qu’il PARTAGER