Evaluer cet article Il est aussi naturel à celui qui emprunte à autrui sa pensée d’en cacher la source, qu’à celui qui retrouve en autrui sa pensée, de proclamer cette rencontre. Journal 1889-1939, juin 1927. André Gide A Lire AussiToute aventure humaine,Il n’y a pas de honte à faire de la pubL’art, c’est de franchir une frontière pour aller àIl y a trente heures parJe t’aime…. Folles sont mes penséesEn parlant de l’homme … cetteSous le ciel, il n’y a rienL’admiration est un abandon heureux de soi-même, l’envieC’est curieux les dames ! IlEn ce qui concerne le passage dans le nouveau millénaire, c’est comme PARTAGER