Evaluer cet article Leur splendeur venait de ceci que j’ardais sans cesse pour elles. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiPousser la raison à ses limites aboutit auTrois choses sont impossibles à acquérir : le don de poésie,Le bonheur est un Dieu qui marche les mains vides Et regarde laLa trahison ne réussit jamais, car, lorsqu’elle réussit, on lui donneQuéquette en décembre, layette en septembre.Le ciel arme de pitié ceuxUn seul mot bien compris l’emporte sur dix milliards deEst-ce que cela porte vraimentUne jeune fille de la campagne vient faire Laissez la bonne conduite et PARTAGER