Evaluer cet article Et dans les abattoirs où l’on traîne les boeufs, La mort ne vaut guère mieux qu’aux arènes le soir. Paroles de la chanson Les belles étrangères. Jean Ferrat A Lire AussiDroit d’asileCe n’est pas du tout qu’elle soitLa vie persiste au seinIl faut avoir une convictionUn corps peut-il guérir,Chi spesso fida,A chaque oiseau, le nidC’est avec les bonnesPaix trompeuse nuit plus queJoe le petit escargot effectue sa promenade du PARTAGER