Evaluer cet article Qui masque ses fautes se voit, en fin de compte, démasquer par sa conscience. William Shakespeare A Lire AussiMalgré ses soixante ans, le joyeux invalideCelui qui ouvre une porte d’écoleÀ Madame, à qui je fis fort bien un enfant.Lorsque Dieu a créé l’homme et laY’a des impulsifs quiPour vivre heureuse et toujoursSi les quatre-temps amène le mauvais temps, il y en aura pour La femme n’est que le gracieux perroquet des imaginations, des pensées, des paroles deLa vérité résulte parfois d’un cumul de mensonges qui seTristan Bernard, histoire et biographie de Bernard PARTAGER