Evaluer cet article On ne put se défendre d’être fasciné par les arabesques, les trèfles de galon qui escaladaient son dolman et le casque étincelant emplumé de faisanneries. Le Hussard sur le toit (1951). Jean Giono A Lire AussiEn Hollande, les gens sont tellement propresOn m’a souvent demandé Qui est votreLa seule façon d’avoir un amiLe gouvernement parlementaireCeux qui croient à l’immortalité de l’âme insistentConnais-toi toi-même. Maxime aussiSaint-Druon pluvieux, an fromenteux.En réponse à la question d’unL’apparence, comme la fraîcheur, est une passion. Il y aDans nos joies les plus PARTAGER