Evaluer cet article En novembre fou engendre, en août gît sa femme. Un dicton travail A Lire AussiLes mourants qui parlent de leurJe ne vais pas mal. MaisImpassibles égoïstes quiUn cerveau bien soigné ne seJe m’amuse quelquefois àChapitre XXIVSi les larmes des enfants sontLa poule de champ ne désire pas unJe me fous de ton argent, jeCet accouchement clandestin PARTAGER