Evaluer cet article En littérature, le vrai prodige n’est pas celui qui commence mais celui qui persévère. Une citation de Michèle Mailhot A Lire AussiLe talon douloureuxMon MariFace à l’espoirTravailler à éclairer sonComment asseoir 4 blondes sur un tabouretLes pâtes alimentaires aujourd’huiEntre mari et femmeBise à la Saint-Michel, octobre sec.La société n’a pas de morale : elle n’a que desPlein d’agrément est le vieillard qui sait à la fois plaisanter et PARTAGER