Evaluer cet article J’aime la Bretagne, j’y trouve le sauvage, le primitif. Quand mes sabots résonnent sur ce sol de granit, j’entends le son sourd, mat et puissant que je cherche en peinture. Lettre, à Emile Schuffenecker, 1888. Paul Gauguin A Lire AussiL’entrevue au ruisseauLa lumièreEn temps ordinaireSe faire le spectateur de sa propre vieL’amourIl est dangereux d’être sincère, àJamais absent n’est trouvé innocent.Toute âme est une très vile comédie.Le PortugalLa lecture apporte à l’homme plénitude, le discours assurance et l’écriture PARTAGER