Evaluer cet article Que d’amoureux qui s’appelaient de doux noms d’oiseaux se volent dans les plumes une fois mariés. Une citation de Jean Delacour A Lire AussiDans l’abîme sans fond mon regard a plongé. Je l’ai promisVoyons si la tête et le corpsLa juge : – Vous êtes coupable. Je vous condamne à 100 dollarsCent écus de chagrin neAu théâtre, l’abstention se traduit par le sommeil Bois de Vincennes : le jardin d’Eden de Paris ?Ne demande que faire, que celui dont le désirC’est Toto qui dit à sa maîtresse en lui rendant son carnet de notes:C’est parce que je t’aime PARTAGER