Evaluer cet article C’est sans doute la vocation du romancier, devant cette grande page blanche de l’oubli, de faire ressurgir quelques mots à moitié effacés, comme ces icebergs perdus qui dérivent à la surface de l’océan. Une citation de Patrick Modiano A Lire AussiLe dernier jour d un condamnéPersonne ne peut voir au soleilN’étant, comme je suisDans ce siècle, si un homme n’érigeQui donc est-tuIl y a plus d’un âneSi l’hiver n’arrive pas enEt à son grand ébahissementLe fanatisme est un monstre milleLe silence devient une rareté et une dimension que PARTAGER