Evaluer cet article C’est sans doute la vocation du romancier, devant cette grande page blanche de l’oubli, de faire ressurgir quelques mots à moitié effacés, comme ces icebergs perdus qui dérivent à la surface de l’océan. Une citation de Patrick Modiano A Lire AussiAu mois de mars vent fou et pluie, que chacun Il n’y a de paix possibleTes yeux sont mon PérouLes Fourberies de Scapin ACTE III Scène 3La fête de la Musique, c’est une fêteChapitre XXXVI: Rêve de vengeanceL’aphorisme résume quelque chose tout en permettant d’autresNe t’ébahis, Ronsard,La lecture est un stratagème quiL’ivresse de la jeunesse est plus forte que l’ivresse provoquée PARTAGER