Evaluer cet article Un écrivain ne lit pas ses confrères, il les surveille. Une citation de Maurice Chapelan A Lire AussiQuand en novembre la neige est épaisse, c’est d’un hiver A la saint-Thierry, au champs jour et nuit.Il serait fort aiséLa vanité est le sel de laLes grives Tu sais comment on sauve un chat de la Brumes d’octobre et pluvieux novembre font ensemble un Si la noblesse est vertu, elle seLe grand amourLe bain maure ou la prison, n’y va que celui PARTAGER